« La prospérité, ça se construit en siècles. Ça se perd en une décennie. Et là, on est en train de la perdre. »
Pierre Noizat, après la tentative d’enlèvement de sa fille en plein Paris.
Un père qui parle. Pas un polémiste. Pas un éditorialiste.
Et qui ose pointer ce qui ne se dit plus : le bilan en matière de sécurité est un échec.
Et dans une démocratie, un échec a toujours un nom.
Il y a deux problèmes :
1. Le manque de moyens :
- L’Allemagne consacre 3,3 % de son PIB aux fonctions police / justice.
- La France : 3 %.
Résultat : des prisons pleines, des peines non exécutées, une justice lente et sous-équipée.
2. Mais surtout un manque de volonté.
Trump, Bukele, même Meloni, on peut les aimer ou non, mais ils prouvent une chose : quand on veut, on peut.
Il n'y a pas de fatalité. Mais des choix à assumer.
Quand on ne peut pas, c’est souvent qu’on ne veut pas.
En France, on préfère pleurer en colloque qu’agir dans la rue.
On tient des conférences sur le « vivre ensemble » pendant que certains font la loi dehors.
La prospérité, oui, se perd vite.
Mais ce qu’on perd encore plus vite, c’est le sentiment que quelqu’un est aux commandes.
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« Trump, Bukele, même Meloni, on peut les aimer ou non, mais ils prouvent une chose : quand on veut, on peut. »
Trump est en train de laminer le softpower américain, ses plus grands partenaires ont acté le fait qu'ils peuvent être peu fiables et se désengagent pour se soustraire à leur prégnance. De plus c'est Trump qui a produit le plus d'accélération de la violence. Après son premier mandat le nombre d'homicides et la haine ont littéralement explosé. Bukele, c'est à voir si la méthode marche. Elle ne serait de toute façon pas applicable chez nous. Elle ne l'est d'ailleurs même pas aux USA qui se permettent pourtant beaucoup plus. Quand à Meloni, ce n'est qu'un vernis populiste, en réalité elle a réduit le déficit budgétaire en le couvrant par la dette qui s'envole, voilà tout. Et l'immigration n'a pas diminué, c'est juste qu'elle est diluée, quand à la criminalité, il n'y a aucune différence.
Forcément, la pensée magique permet beaucoup de choses, mais c'est juste de la magie.