12% des lycéens sortent du système scolaire avec des problèmes de lecture et d’écriture. Pour relever le niveau on impose un patois inclusif à des étudiants en droit qui n’avaient rien demandé.
Le sujet proposé n’est déjà pas simple, avec une personne qui accouche sans qu’on sache si c’est une femme, une histoire d’enfant biélorusse orphelin, …
Peut-être faudra-t-il fournir à ces étudiants un exemplaire du “Petit.e Robert.e” ?
Par un heureux hasard, la cour administrative vient de sanctionner une autre université, à Grenoble, pour avoir rédigé ses statuts en utilisant le point médian, là aussi dans un sabir qui mettrait toute personne dys en PLS.
La cour a argué que cela méconnaissait le principe constitutionnel de clarté et d’intelligibilité nécessaire aux textes juridiques.
À chaque fois je pense à cette citation d’un copywriter et marketer de génie, le camarade Lénine : “Faites-leur avaler le mot, vous leur ferez avaler la chose”.
Qu’auriez-vous pensé si vous aviez reçu un énoncé tel que celui reçu par ces étudiants ?