À force de vouloir suivre les règles, on finit par être empêché d'agir pour ce qui est juste.
Dans "The Dark Knight Rises", James Gordon a cette phrase :
"Il arrive un stade où tout bascule, où les structures te trahissent, où les règles ne sont plus des armes, mais des entraves qui permettent aux voyous de prendre l'avantage."
Cette phrase résonne tellement dans la France d’aujourd’hui.
Nous sommes paralysés par des règles qui se multiplient.
Des normes qui enchaînent.
Des procédures qui finissent par nous empêcher de faire ce qui est juste.
Ce qui est nécessaire.
Les entreprises, les citoyens, les institutions.
Chacun est étouffé par la bureaucratie, les règlements, les lois qui s’accumulent.
Au lieu d’agir, on est pris dans des discussions interminables, des procédures à n’en plus finir.
Et pendant ce temps, rien ne change.
❌ Quand des propriétaires ne peuvent pas récupérer leur bien squatté, alors que la justice leur donne raison.
❌ Quand des entreprises passent des mois à obtenir des autorisations pour créer de l’emploi ou innover.
❌ Quand des décisions vitales sont retardées ou contredites par des considérations administratives, d'autres lois.
Le film montre que suivre aveuglément les règles peut empêcher d'agir pour le bien commun.
En France, à force de vouloir tout encadrer, tout réguler, on finit par saper l’action et laisser s’installer le chaos.
Il y a un moment où il faut se demander : les règles sont-elles encore au service du bien commun ?
Ou sont-elles devenues un frein qui empêche d’agir efficacement ?
Dans The Dark Knight Rises, Gotham est au bord du gouffre à cause de cet excès de règles et de la peur d’agir en dehors du cadre.
En France, nous sommes à un carrefour similaire.
Si nous continuons à être paralysés par la bureaucratie et les lois trop rigides, nous risquons de laisser passer les réformes et les actions qui pourraient vraiment nous aider à sortir des crises multiples.
L’État, les entreprises, les citoyens doivent retrouver la capacité d’agir.
La solution ne se trouve pas dans toujours plus de règles.
Mais dans la flexibilité, l’audace, et la capacité à faire ce qui est juste.
Car comme le film le montre, quand les règles étouffent l’action, c’est là que le danger commence.