Air Algérie, pour enrayer le retour des expulsés, impose qu'ils soient munis d'un laissez-passer consulaire.
En contravention totale avec les accords franco-algériens, selon le ministère de l'Intérieur, qui prévoient que seul un titre d'identité soit nécessaire.
Face à ce camouflet, le gouvernement français a sorti l’artillerie lourde :
✅ Prendre l’identité du chef d’escale.
✅ Lui demander une attestation.
✅ Peut-être même une lettre manuscrite sur l’honneur.
Qui, si l’escalade continue, pourrait mener à un courroux feutré, suivi d’une note diplomatique tiède.
Avant de clore définitivement l’incident pour "préserver la relation bilatérale".
Et si Air Algérie persiste ?
📌 Une réunion de crise sera convoquée.
📌 Un communiqué "ferme" sera rédigé, mais jamais publié.
📌 Un sous-secrétaire d’État "exprimera sa préoccupation" sur France Info à 6h30 du matin.
Tout ça pendant que l’Algérie continue de bénéficier de visas, d’aides, que ses dignitaires viennent faire leur shopping pendant que leur population est dans la misère, en laissant une jolie ardoise à nos hôpitaux (45 millions uniquement pour l'AP-HP).
Et que la France, imperturbable, continue d’obtempérer.
Peut-être Retailleau devrait-il s'inspirer des Clash : Rock the casbah.