"C’est Nicolas qui paie", c’est l’extrême-droite, Trump ou Milei, selon Olivier Faure.
Vieille ficelle : coller une étiquette infamante pour éviter de répondre sur le fond.
Tout en insinuant que les gens sont trop bêtes pour réfléchir par eux-mêmes.
Or le vrai sujet n’est pas "faut-il garder ou détruire l’État providence", mais :
- quel est le rapport qualité-prix de nos dépenses,
- comment limiter les abus,
- comment équilibrer le ratio actifs/inactifs,
- comment réduire les écarts entre retraites publiques et privées.
Bref : la question n’est pas morale, elle est arithmétique. Et là, les slogans ne suffisent plus.
Business Expert / Partnerships Development / Food & Beverages
2 days ago
L'état providence est un leurre, comme notre modèle social qui est devenu "un totem chimèrique" utilisé par des politiques "hors sol" pour masquer leur incompétence collective à gérer la dépense publique.
On est le pays champion du monde des prélèvements obligatoires, avec 10 millions de pauvres, un record malheureusement historique avec un Etat toujours plus obèse et inefficace. Mr Faure est un exemple de ces politiques, biberonnés à la dépense publique, qui ont développé une véritable culture de l'excuse et de l'irresponsabilité !
Ok je crois qu'il y a un rapport du sénat sur l'efficacité des 220 Milliards d'euros annuels accordés aux entreprises en exonération..
C'est pas hyper glorieux, ni en terme de création d'emploi ni en terme de retour par l'impôt..
Là c'est Nicolas qui paye vos dividendes..
Du coup comme c'est pas efficace on jette ? Ok ?