"C'est une chose d'éviter qu'un prédateur s'en prenne à un enfant sur internet, c'en est une autre que d'empêcher un adulte d'accéder à une opinion qui va à l'encontre du gouvernement." selon JD Vance, le vice-président américain.
Je suis plutôt d'accord avec cette philosophie.
Mais bien sûr les contenus appelant à la violence contre une personne ou un groupe de personne n'ont rien à faire en ligne.
Par contre une critique, même dure, contre une idée, ou les propos d'une personne, n'est pas de la violence.
Sous réserve qu'on soit dans l'argument.
Comme disait Beaumarchais, "Sans liberté de blâmer il n'est point d'éloge flatteur."