"Décider mal vaut mieux que ne pas décider", François Hollande, influenceur LinkedIn.
C’est ce qu’a déclaré l'ancien président face à l'indécision d'Emmanuel Macron pour nommer un Premier ministre.
Après tout ce n’est "que" la personne qui va impulser la politique du pays et définir sa direction.
Pas de quoi se poser trop de questions, c'est vrai.
Ce genre de phrases vient souvent de ceux qui ont un intérêt à ce qu’on bouge vite… dans le sens de leurs affaires.
On en voit des tonnes sur LinkedIn, des posts pleins de conseils où l’action prime sur la réflexion.
J’avoue, je ne suis pas de cette école-là.
Je fais partie de ceux qui ont besoin de réfléchir, de comparer, de peser chaque option.
Pour moi, prendre une décision nécessite des éléments objectifs.
Et j'ai besoin de m'assurer que c'est le meilleur choix possible.
Mais parfois, à force de tout analyser, de prévoir tous les scénarios, on finit par s’enliser.
Et au final, on ne fait rien.
Paralysés par la peur de mal faire.
C’est vrai, on ne peut pas tout maîtriser. Et pourtant, on peut limiter les risques.
C’est là qu’intervient l’assurance.
Pour ceux qui achètent un bien immobilier, la garantie revente est une réponse à cette peur de l’inconnu.
Elle lève les freins qui bloquent le passage à l’action.
Les deux grandes questions qu’un acheteur se pose :
✴️ Que faire si le marché baisse et que je dois revendre à perte dans quelques années ?
✴️ Comment gérer une situation où je dois vendre rapidement, sans avoir le luxe d’attendre un bon prix ?
La garantie revente est là pour couvrir ces risques. Elle permet de se lancer sans être paralysé par les scénarios catastrophes.
Oui, on ne contrôle pas l’avenir, mais on peut se protéger contre ses imprévus.
Parce qu’au fond, prendre une décision, c’est aussi savoir gérer l’incertitude.
Et il vaut mieux une bonne couverture qu’un mauvais choix.
Comme souvent, les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Ceux qui prennent les risques qui doivent s'assurer de les minimiser.
Les bons professionnels doivent accompagner leurs clients en leur offrant les moyens de minimiser leur risque.
Décider, c'est choisir
Choisir c'est renoncer
Renoncer c'est assumer ses erreurs
Conclusion: Ceux qui sont incapable d'assumer leurs erreurs ne sont pas fait pour décider!