Des impôts pour financer le dialogue inter-espèces entre agents municipaux et "boulot pleureur" ou "coquelicot" ou "ours.e brun.e", etc…
Le tout emballé dans un charabia pseudo-savamment écolo.
Parce qu’appeler ça un "cours d’improvisation loufoque", ça ferait tâche sur la facture.
Mais rassurez-vous : vos impôts sont "bien" dépensés.
Après tout, ce n’est pas comme si les impôts locaux avaient une facheuse tendance à augmenter, et que les édiles se plaignaient que l'État donne moins, crise de la dette oblige.
Et ce n’est pas un cas isolé.
À Paris, ville déjà étranglée par une dette abyssale, on trouve toujours de quoi financer des associations à l’autre bout du monde :
- pour l'écoféminisme en Colombie,
- du karaté "solidaire" à Madagascar,
- des ruchers pour "femmes leaders" au Togo.
Etc.
Un jour à Lyon pour parler aux platanes, un autre à Paris pour subventionner des "allié.e.s".
C’est beau la solidarité. Surtout avec l’argent des autres.
Où est la "justice sociale" là-dedans ? Mystère. En tous cas pas avec les administrés.
Serait-ce utile ailleurs ? Très certainement.
Ou alors soyons positifs : c’est peut-être une politique de santé publique déguisée.
Plusieurs études montrent que rire est bon pour la santé.
Et franchement, il y a de quoi rire…
Jusqu’à ce que votre taxe foncière arrive.