Des membres de gangs vénézuéliens sont transférés de leurs prisons américaines vers la méga-prison du Salvador par l'administration Trump.
Images impressionnantes. Punition exemplaire. Effet dissuasif maximal.
Mais derrière le choc visuel, des questions se posent :
⚖️ Faut-il une justice d’exception face à des criminels hors normes ?
⚖️ Peut-on sous-traiter l’incarcération à d’autres pays comme on externalise une chaîne de production ?
⚖️ Jusqu’où peut-on aller au nom de la sécurité sans sacrifier nos principes ?
En France, le débat prend une autre forme.
Julie Couturier, présidente du Conseil national des barreaux, s’inquiète des dérives de la proposition de loi "Narcotrafic".
Une législation qui, au nom de l’efficacité, pourrait rogner sur les droits fondamentaux.
Sécurité ou liberté ?
Aux États-Unis comme en France, le dilemme est le même.
La frontière entre justice et gestion de crise devient floue, face au déferlement de trafics en tous genres, et leur emprise de plus en plus forte sur la société.
Une société démocratique peut-elle se permettre d’appliquer les méthodes de ses ennemis ?
Ou bien risque-t-elle de devenir ce qu’elle prétend combattre ?
Ne vous posez pas tant de questions, copiez cette façon de régler les problèmes de narcotraficants et tout ira mieux.
Arretez de discuter… agissons idem
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5 months ago
Ces gangsters ne comprennent que la force. Les gens transférés dans ces prisons ont perdu les valeurs qui font l'humanité. Bravo aux Salvadorien(nes) d'avoir réalisé cela.