Éric Lombard annonce que les entreprises françaises doivent accepter de voir leur rentabilité baisser.
Pour des investissements non-rentables (on adore le concept) dans la transition écologique.
Tranquille.
Rien de plus normal que de demander aux entreprises de se tirer une balle dans le pied, puis de les applaudir pour leur sens du sacrifice.
Le minimum attendu ?
Un plan d’économie de l’État pour alléger leur contribution et permettre de concilier performance économique et écologique.
Mais non. Ce serait trop demander.
Entre les dents en bois et les jambes en mousse, on a choisi les 2.
À ce rythme, on pourra bientôt expliquer aux entreprises que la vraie transition, c’est leur disparition.