Il y a UNE énergie inépuisable, renouvelable, qui ne dégage pas de CO2 et qui fait tourner l'économie : la confiance.
Sans elle, tout s'effondre.
L’économie mondiale, les marchés financiers, les entreprises, la monnaie…
Tout repose sur un socle invisible mais indispensable : la confiance.
Prenons l'exemple de la monnaie fiduciaire.
"Fiduciaire" vient du latin "fiducia", qui signifie "foi" ou "confiance"**.
Lorsque vous acceptez un billet de banque en échange d’un produit ou d’un service, vous faites confiance à l’idée que ce bout de papier a une valeur.
Sans cette confiance, la monnaie ne vaudrait plus rien.
La monnaie fiduciaire est littéralement un système de croyance basé sur la confiance collective.
Pendant la crise de 2008, c’est la perte de confiance dans les banques qui a précipité la chute des marchés.
Les clients ne faisaient plus confiance aux institutions financières pour garder leur argent en sécurité.
Résultat : les banques ont dû être sauvées par les gouvernements pour rétablir cette confiance.
Dans les affaires, la confiance est un moteur essentiel.
Une étude menée par PwC montre que 55% des consommateurs déclarent qu’ils ne feront pas d’affaires avec une entreprise en laquelle ils n’ont pas confiance.
Et dans un environnement B2B, 84% des entreprises affirment que la confiance est un critère décisif pour choisir leurs partenaires commerciaux.
La confiance, c’est ce qui lie les partenaires commerciaux, les actionnaires aux entreprises, et même les clients aux marques.
Sans elle les transactions s’arrêtent.
Dans l’économie, la confiance se construit, se mérite, et se détruit rapidement.
Les entreprises qui inspirent confiance prospèrent.
Celles qui la perdent chutent.
Kenneth Arrow, prix Nobel d'économie, disait : "Presque toutes les transactions économiques impliquent un élément de confiance".
Et c’est vrai : sans cette énergie invisible, les rouages de l'économie cessent de tourner.
La confiance c’est l’énergie renouvelable qui fait tout marcher.