J'admet avoir ri.
Ceci dit le marché du diplôme est un marché comme un autre.
Trop de production de diplômes dans une filière donnée alors que l'offre n'y est pas, conduit sur le long-terme à une prolétarisation.
Différents penseurs ont par exemple théorisé le fait que la surproduction d'élites intellectuels, comme les journalistes, conduisait à une précarité économique qui influençait leur orientation idéologique.
C'est comme ça qu'on se retrouve, dans les écoles de journalisme ou dans les science po, lorsqu'on simule des élections présidentielles, à une forte surreprésentation de la gauche / extrême-gauche.
En tous cas, rien de représentatif par rapport à la population.
Teintant ainsi l'information d'une certaine couleur.
Avec divers artifices possibles pour donner un semblant d'objectivité. Comme la sélection des sujets.
Peut-être une explication du fait que les journalistes, avec les assureurs ceci dit, font partie des professions parmi les plus détestées ?