L’Allemagne a misé sur l’éolien et le solaire, avec une foi quasi-religieuse. Résultat ?
🌬 Moins de vent = moins d’énergie renouvelable
🔺 Des prix encore plus hauts que ceux post-invasion ukrainienne
🔥 Toujours plus de charbon pour compenser
Le bilan est catastrophique :
- Jamais moins de 440g de CO2/kWh en moyenne (contre jamais plus de 80g en France).
- Le maintien d'une dépendance à du gaz importé.
- Une production instable, nécessitant des centrales d’appoint polluantes.
Pendant ce temps, la Belgique et l’Italie relancent le nucléaire.
Mais en France, certains "écologistes" s’accrochent encore au modèle allemand.
Et quand un rapport pointe l’impact négatif des ENR sur nos centrales nucléaires (vieillissement accéléré dû aux variations brutales de charge), silence radio.
📉 Ils veulent remplacer du fiable et bas-carbone par du fluctuant et polluant.
💡 Ils sabordent notre expertise nucléaire, puis s’étonnent qu’on ne puisse plus en construire autant, ce qui permet de dire qu'on n'a pas le choix avec les éoliennes.
Forcément…
Des arguments solides sont avancés ici. Il est évident que l'éolien ne rapporte qu'à ceux qui y investisse avec l'appui d'écolos ignares en matière d'énergie, mais très présents dans les médias pour casser le pays.
Laurent Brèches la variabilité pluriannuelle des variables météorologiques (ensoleillement, vent, hydraulicité, température) est une donnée qu'il faut prendre en compte
en France : la température a un fort impact sur la demande en électricité du fait du développement du chauffage électrique
ci dessous le besoin en chauffage
https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/indice-de-rigueur-degres-jours-unifies-aux-niveaux-national-regional-et-departemental
Il faut étudier la statistique conjointe de ces variables à la fois sur la production et sur la demande
et non chaque variable séparément