Le Premier ministre japonais rappelle une évidence : on ne peut pas vivre ensemble sans règles communes.
Résultat ?
📌 Les immigrés y sont moins délinquants que les nationaux – dans un pays où la délinquance est déjà ridiculement faible.
Mais ça, ce n’est pas nouveau. Aristote l’avait déjà théorisé :
- Le langage permet l’échange et le débat.
- L’échange permet la création d’une culture commune.
- La culture commune permet l’unité d’une cité.
- Une cité unie définit ses règles et les fait respecter.
Le problème n’est donc pas tellement l’immigration en soi.
Elle n’est ni bonne ni mauvaise.
C’est la gestion et sa qualité qui fait toute la différence.
Et en France, on ne refuse de gérer. On fait semblant.
On laisse venir des flots de gens, alors que nous subissons déjà une pénurie de logements, par exemple, créant une tension supplémentaire.
Et on s'étonne que ça ne se passe pas toujours très bien et que cela crée des rancoeurs.