Les jeunes socialistes proposent la création d’un "ministère du temps libéré".
Au programme :
– Semaine de 4 jours sans baisse de salaire (donc 32h payées 35, voire 39),
– Retraite à 60 ans sans condition de durée de cotisation,
– Et j’imagine bientôt des siestes obligatoires, des massages en open-space et des tickets-temps pour partir en week-end dès jeudi midi.
Je retiens trois informations capitales :
1. Il existe encore des militants socialistes,
2. Certains sont en âge de procréer, garantissant la survie d’une espèce qu’on croyait éteinte,
3. L’erreur ne tue pas, elle permet de se réunir en congrès.
Mitterrand disait du MJS (mouvement des jeunes socialistes) que c’était l’école du vice.
On aurait dû lui préciser qu’avec assez de subventions, c’était surtout une école de l’oisiveté subventionnée.
La vérité, c’est que le progrès social, ce n’est pas de travailler moins, c’est de produire mieux, d’alléger les charges sur ceux qui créent, et de garantir un avenir aux générations suivantes.
Mais ça, c’est trop dur à faire figurer sur une pancarte en carton recyclé.
L'occident a encore les moyens de d'avoir de tel "probleme" et bientot impossera au monde son "revenu" universel quand tout ses bullshits jobers appartiendront à la classe des "inutiles" (Yuval Noah Harari).
Déjà quand suisse on n’arrive plus à équilibrer les recettes suffisantes pour payer les retraites a l’âge de 65 ans alors en France je n’ose même pas imaginer comme elle pourrait faire svec une retraite à 60 ans.