On prépare la guerre. Mais surtout, on régule les emballages des boulangers.
Macron veut mobiliser l’économie contre la Russie. Très bien.
On double le budget des armées sans augmenter les impôts ?
Ok. Donc plus de déficit.
Sauf si on fait des économies.
Mais alors pourquoi ne pas les avoir faites avant ?
Alors la grande tambouille commence :
- On parle de mobiliser l’épargne privée (forcément, l’argent est mieux chez l’État que chez vous).
- On réunit banques et assureurs le 20 mars pour pousser l’investissement dans l’industrie de défense.
Mais en parallèle, la machine bureaucratique continue de broyer le pays comme si de rien n’était :
- 42 pages de normes… pour les panneaux des hôtels de tourisme.
- Une nouvelle taxe sur les emballages pour les boulangers et bouchers. Ils devront comptabiliser chaque bout de papier utilisé (vive la simplification !).
Pas d’augmentation d’impôts, mais des taxes déguisées, des normes absurdes et une paperasse qui gangrène le quotidien.
Je me demande si, en Russie, ils sont aussi préoccupés par l’étiquetage des croissants et la signalétique des hôtels en pleine guerre économique.
Nous, si.
La honte !
Et après, on se plaint que l'Europe est à la ramasse !...
Virer tous ces fonctionnaires qui ne servent strictement à rien serait déjà un grand pas vers une économie de guerre.