Payées par l'État pour le critiquer, financées par l’étranger pour affaiblir la France : bienvenue dans le business juteux des ONG. Pendant que certains croient encore à la belle histoire des ONG "indépendantes" qui défendent le Bien contre les méchants industriels pollueurs, d'autres lèvent le voile sur une réalité un peu moins Disney. Une bonne partie des ONG sont en réalité financées indirectement par des États ou des entreprises. Pas pour planter des arbres ou sauver des phoques. Mais souvent pour soutenir des intérêts géostratégiques, voire économiques, très concrets. Prenons quelques exemples pour se mettre dans l’ambiance : – Des ONG "environnementales" financées par l’Allemagne pour torpiller le nucléaire français.   – Des associations "agricoles" qui détruisent les recherches de l’INRA… laissant le champ libre à Monsanto. Littéralement.   – Des responsables d(ONG reçues aux USA sans passer la douane, pendant que vous, vous enlevez vos chaussures à Roissy. Certaines ONG attaquent les décisions de l’État tout en étant financées par ce même État, selon divers spécialistes. Coucou France Nature, subventionnée par 4 ministères, l’ADEME, la SNCF et La Poste. À ce niveau, ce n’est plus un conflit d’intérêts, c’est une fusion-acquisition.  Derrière les belles valeurs affichées, on retrouve :  – des hauts cadres rémunérés comme dans le privé,  – des classements de "corruption" produits par Transparency International où les entreprises américaines sont toujours en haut… et Dassault toujours en bas, comme par hasard,  – des journalistes "d’investigation" financés par l’USAID, interdits de gratter sur les entreprises américaines dans les Panama Papers. Le plus savoureux ? Ce sont souvent les ONG les plus opaques, non élues, peu transparentes sur leurs financements, qui viennent nous faire la leçon sur la gouvernance, la démocratie, l’éthique… Bref, si vous croyez encore que ONG = bienveillance désintéressée, c’est que vous croyez aussi que le Père Noël est directeur de campagne de Greta Thunberg. La vraie question : faut-il continuer à subventionner, avec l’argent public, des entités qui sapent nos intérêts stratégiques et industriels ? Ou leur appliquer enfin le principe de réalité et un bon audit.