Philippe Lucas, c’est l’anti-coach moderne.
Pas de post-it en couleur.
Pas de "comment tu te sens dans ta zone de performance aujourd’hui ?"
Pas de cercle de parole avec jus de grenade bio.
Pas de coaching holistique intégratif à base d’intelligence émotionnelle.
Non.
Juste un type qui gueule au bord d'une piscine à 6h du matin.
Et qui transforme des ados en machines à médaille.
Il n’est pas très inclusif.
Il ne fait pas de "stand-up meeting".
Il n’a jamais lu un livre sur le "leadership bienveillant".
Et il se moque de "l’intelligence collective" : dans l’eau chacun nage pour soi.
Et, bizarrement, les résultats ont suivi.
À force de confondre management et jardin d’enfants, on oublie que le but n’est pas de faire plaisir à tout le monde.
Mais d’avancer.
De progresser.
Et parfois de gagner.
Comme le dit Laure Manaudou, "le soir c'est pas Star Ac". Mais visiblement cela a été efficace.
Consultant senior - Recruteur en Banque Assurance Finance Fintech
3 months ago
Il est impossible d'atteindre l'excellence dans la performance sans exigence. Alors ça ne correspond bien sûr pas à tout le monde, il y a forcément eu de la casse, mais pour façonner un(e) athlète il faut une approche plurifactorielle : la technique, le physique, la discipline, le mental. On ne marque pas l'Histoire en étant bienveillant et gentillet. Avec un coach comme ça, ceux qui acceptent (ou qui peuvent) être dans sa roue, ont des chances de devenir de grands champions = gagner des titres. Après, chacun fait ses choix.