Quand Los Angeles brûle, on peut dire que c'est la faute du dérèglement climatique.
Ou alors, on peut regarder ailleurs :
- La politique DEI (Diversité, Équité, Inclusion), faisant que c'est désormais beaucoup plus compliqué d'être pompier si on est homme blanc plutôt que femme noire.
- La baisse des dotations aux pompiers (ça aide pas non plus).
Mais bon, ces explications n’intéressent pas les écolos-révolutionnaires.
Leur combat, c’est la guerre contre le capitalisme et le bon sens.
Ce bon sens qui dit qu’un pompier est là pour éteindre des feux et sauver des vies.
Pas pour représenter toutes les cases des quotas.
Mais à Los Angeles, le gros problème, c’était qu’il n’y avait que 5% de femmes chez les pompiers.
Et beaucoup trop d’hommes blancs.
On a donc décidé de prioriser "la justice sociale".
Parce que le feu, lui, fait des discriminations, c’est bien connu.
Le résultat ?
Mieux vaut espérer qu’un pompier puisse te porter hors des flammes, plutôt que t’expliquer gentiment qu’il ne peut pas, ou que tu étais au mauvais endroit, au mauvais moment, mais qu’il représente un progrès sociétal.
Et là, imaginez : votre maison brûle, les pompiers arrivent. Vous dîtes quoi ?
- "Non, non, vous êtes trop homogènes, rentrez chez vous."
- "Mes enfants n'ont plus de toit mais le monde est plus juste."
Spoiler : personne ne dit ça.
Et c’est valable pour n’importe quelle structure.
Une entreprise est là pour servir ses clients et être rentable pour payer ses fournisseurs, ses salariés, rémunérer ses actionnaires.
Pas pour tester des théories idéologiques qui font plaisir sur LinkedIn.
Quand une organisation oublie sa mission première, elle finit comme les pompiers de Los Angeles : inefficace, coûteuse, et dangereuse.
Alors soyons simples : que chacun commence par bien faire ce qu’il est censé faire.
Ensuite on parlera de quotas.