Un terroriste, déchu de sa nationalité française, condamné à 9 ans de prison et hébergé aux frais du contribuable.
Bienvenue en France, 2025.
Alors non, ce type à lui seul ne va pas plomber nos finances.
Mais il est symptomatique d’un État qui se montre implacable avec les gens ordinaures et d’une complaisance ahurissante avec ceux qui le menacent.
Comment faire confiance aux institutions quand elles tolèrent de telles aberrations ?
Quand un chauffard flashé à 30 km/h au-dessus de la limite est immédiatement sanctionné, mais qu’un terroriste peut continuer à profiter du système ?
Toute relation, amicale, amoureuse, économique, citoyenne, diplomatique, repose d’abord sur la confiance.
Avant même le droit, c’est le sentiment de justice et de cohérence qui soude une société.
Quand l’État applique la loi au millimètre pour certains, et avec une indulgence absurde pour d’autres, il ne fait pas qu’être inefficace.
Il sape la confiance des citoyens.
Et sans confiance, c’est la démocratie elle-même qui vacille.